Faire du neuf devient un mot d'ordre du Second Empire. Dès 1853, on démarre le chantier du palais de l'Industrie, destiné à abriter l'Exposition universelle de 1855, en réponse à l'exposition de Londres en 1851. Pour se démarquer de Londres, le projet associe à la dimension industrielle une dimension artistique, et expose les beaux-arts dans une annexe du bâtiment. L'agriculture et l'enseignement ont aussi leur place dans cette grande manifestation.