Zola, coiffé de la casquette de Coupeau dans L'Assommoir, son récent roman Nana sortant de sa poche, vient toucher l'argent du fourbe Don Basile au Figaro, tout en se disant républicain. De monarchiste, Le Figaro est devenu républicain modéré après 1875, ce qui correspond assez bien à l'opinion de Zola dans les années 1880, plus soucieux de justice sociale que d'égalité et qui défend dans ses articles une "république des supériorités".