« Pourtant, il y a six mois, au Louvre, F. trouve un couple dans un coin noir du sous sol, va chercher C., puis celui-ci, gai par extraordinaire, fait venir le jeune homme, puis la jeune fille, puis tous les deux, et leur dit : "Désormais, il faudra demander une permission pour sortir." Très rare.
On renvoie les vendeuses comme les vendeurs pour rien, en morte-saison. Voir les détails sur les vendeurs. Cette femme sur le pavé de Paris.
Elles ont très souvent des flueurs [sic] blanches par suite de la fatigue et de la mauvaise nourriture (mieux aujourd'hui).
Les femmes vont par petites bandes.
Elles ont quinze jours de vacances par an, deux fois dans les mortes-saisons, de décembre à février, et de juin à fin septembre.
Le tant pour cent des vendeuses est de un ou deux ; la guelte est de cinquante centimes ou de un franc en plus. »