Pangloss professant à Thunder-ten-Tronckh
Dans Candide, ou l'Optimisme. chap 1, fol 119
Daniel-Nicolas Chodowiecky (1726-1801), dessinateur et graveur  ; Voltaire (1694-1778), auteur, Berlin, Ed. Chrétien Frédéric Himbourg, 1778.
Estampe dessinée et gravée en taille-douce, 1 vol. petit in-8°
BnF, Réserve des livres rares, Z. Beuchot 133
© Bibliothèque nationale de France
« Le précepteur Pangloss était l’oracle de la maison, et le petit Candide écoutait ses leçons avec toute la bonne foi de son âge et de son caractère.
Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolonigologie. Il prouvait admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château de monseigneur le baron était le plus beau des châteaux et madame la meilleure des baronnes possibles.
"Il est démontré, disait-il, que les choses ne peuvent être autrement : car, tout étant fait pour une fin, tout est nécessairement pour la meilleure fin. Remarquez bien que les nez ont été faits pour porter des lunettes, aussi avons-nous des lunettes [...]" »
(Candide, chap. 1)
 
 

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