Soirée Aïgui. Au milieu de la soirée, Antoine Vitez lisait le même poème deux fois successivement, la première fois dans la version originale, en russe, accompagné par Setrak au piano, et immédiatement après, en français, dans la traduction de Léon Robel, sans accompagnement musical. On entend ici la transition entre la fin de la lecture en russe et le début de la lecture en français. Écoute-t-on de la même façon la version russe accompagnée du piano et la version française à voix nue ?
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