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Il
apprit (...) la dialectique et surtout l'astronomie. Il apprit le calcul
et s'appliqua avec attention et sagacité à étudier
le cours des astres. Il s'essaya aussi à écrire et il avait
l'habitude de placer sous les coussins de son lit des tablettes et des
feuilles de parchemin, afin de profiter de ses instants de loisir pour
s'exercer à tracer des lettres ; mais il s'y prit trop tard
et le résultat fut médiocre. |
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Extrait de Éginhard, Vie de Charlemagne, éditée et traduite par Louis Halphen (Paris, Les Belles Lettres, 1938, p. 77) |
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