La marchande de volailles (poules, coqs, pigeons, œufs)
Tacuinum sanitatis
Albucasis, Allemagne (Rhénanie), XVe siècle.
Paris, BnF, département des Manuscrits, Latin 9333, fol. 65
© Bibliothèque nationale de France
Les volailles constituaient un apport alimentaire très important dans la société médiévale. Les jeunes poules passent alors pour bénéficier aux enfants, notamment au printemps, de même que les œufs de poule et d'oie, tandis que les œufs de perdrix sont plutôt prescrits pour les adolescents. Canards, perdrix, et faisans sont destinés aux jeunes, mais cailles, colombes et tourterelles valent surtout dans l'alimentation des personnes "décrépites".
 
 

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