Le recul des forêts est en partie dû, non seulement à la nécessité d'obtenir de nouvelles terres pour nourrir une population encore en pleine expansion démographique, mais aussi au besoin de trouver de longs fûts pour construire les châteaux et les édifices du culte, dont le nombre allait alors se multipliant. Un moine se charge de l'abattage, tandis qu'un paysan qui l'assiste, peut-être un frère laïc, coupe les plus grosses branches.