Arlequin, défenseur d’Homère
Sept planches pour Le Théâtre de la Foire ou l'opéra-comique contenant les meilleures pièces qui ont été représentées aux foires de S. Germain et de S. Laurent.
F. Poilly, graveur ; Robert Bonnart, dessinateur, Paris, 1721.
BnF, département des Estampes et de la Photographie, RESERVE QB-201 (85)-FOL
© Bibliothèque nationale de France
En 1713-1716, une seconde Querelle des Anciens et des Modernes surgit à l’occasion de la traduction en prose d'Homère par Mme Dacier que Houdar adapta en vers, supprimant ce qu'il appelait des longueurs pour adapter l'Iliade aux goûts modernes. Vingt ans après la première Querelle, alors que Perrault et Boileau étaient déjà morts, le débat porte sur la question de fidélité au texte d’Homère. Houdar avait en effet « corrigé » et raccourci l’original, accompagné d’une préface contenant un Discours sur Homère, publié en 1714, où il prend la défense des Modernes. Cette Querelle pose la question d’idées nouvelles soutenues par une nouvelle esthétique.

Cette pièce en un acte a été composée par Louis Fuzelier (1672 ?-1752) à l’occasion de la fameuse querelle qui faisait rage entre les Anciens et les Moderne au sujet d’Homère. Elle a été représentée au Théâtre de la Foire Saint-Laurent en 1715.

> Texte intégral dans de la pièce Gallica
 
 

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