Cet ouvrage a relancé sur des bases philosophiques et épistémologiques nouvelles le débat pour ou contre la traduction ethnocentrique et l’a installé dans le grand discours moderne de l’altérité. Il y postule que « la visée même de la traduction est d’ouvrir au niveau de l’écrit un certain rapport à l’Autre, de féconder le Propre par la médiation de l’Étranger » [...] et que « l’essence de la traduction est d’être ouverture, dialogue, métissage, décentrement. » (p. 16).
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