Le diable à Paris
Publié dans Le diable à Paris ; Paris et les parisiens, par George Sand, P.-J. Stahl (Hetzel), de Balzac et al., planche avant page de titre
Gavarni, dessinateur, Brugnot, graveur, 1845.
BnF, département Histoire, philosophie, sciences de l’homme, 4-LI3-165 (1)
© Bibliothèque nationale de France
Imaginé par l’éditeur Pierre-Jules Hetzel, utilisant le pseudonyme Pierre-Jules Stahl, Le Diable à Paris se présente comme une série d’histoires dessinant une chronique de la vie parisienne. Satan, qui s’ennuie, confie au diablotin Flammèche la mission de lui raconter ce qui se passe dans la capitale. Mais ce dernier, fort paresseux, fait appel aux écrivains et illustrateurs les plus en vue de l’époque pour faire le travail à sa place... Le prologue, « Comment il se fit qu’un diable vint à Paris, et comment ce livre s’ensuivit » place d’entrée l’ouvrage dans la veine satirique des physiologies et de la littérature dite « panoramique », très en vogue sous la monarchie de Juillet. L’ouvrage présente aussi la ville elle-même, avec ses monuments et ses avenues, grâce à des textes et illustrations relevant du genre des « voyages pittoresques » alors en plein essor.
 
 

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