Charles Baudelaire au fauteuil
Portrait de Charles Baudelaire avec dédicace à un ami
Autoportrait de Charles Baudelaire
Charles Baudelaire, Fleurs du mal
Charles Baudelaire (1821-1867)
Charles Baudelaire (1821-1867)
Charles Baudelaire (1821-1867) debout
Autoportrait de Charles Baudelaire
Autoportrait de Baudelaire sous l’influence du haschisch
Charles Baudelaire (1821-1867)
Félix Tournachon, dit Nadar, vers 1855-1857.
Épreuve sur papier salé d’après un négatif sur verre au collodion, 24 × 18 cm
Paris, Musée d’Orsay, acquis grâce à une participation de la société des Amis du musée d’Orsay, 1988, PHO 1988 30
Photo © Musée d’Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Hervé Lewandowski
De ce portrait « raté » à cause du bougé de la pose ne subsiste que cette épreuve. Le négatif même a disparu. Cet heureux flou est à l’opposé de la netteté obligatoire des portraits commerciaux que fustigeait Baudelaire dans « Le public moderne et la photographie ». Très naturel, le portrait conserve l’acuité du regard du poète et illustre une note prise par Nadar pour son livre posthume (1911), Charles Baudelaire intime : « 1re entrevue Baudelaire. Il s’avançait beau comme un jeune Dieu eut dit Banville. Chevelure flottante, bouclée, yeux deux brillants de café. »
Recueilli par son ami et premier biographe Charles Asselineau, c’est le seul portrait de Baudelaire qui se trouvait dans ses manuscrits.
 
 

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