ecrire la ville


Saisir ce qui est mobile, dans l’espace, dans le temps.
En se déplaçant soi-même dans l’espace, faire apparaître dans le récit le réel invisible.
Saisir ce qui, dans le mouvement général de la ville, est singulier, permet l’arrêt sur image.
Et deux exercices pour faire surgir au présent du texte un personnage, ou capter ce brassage permanent de la ville.
En se transformant, le réel nous conduit à des territoires d’écriture aussi neufs que lui. À nous de nous y risquer, et découvrir ce que nous n’aurions jamais écrit sans cette contrainte…
Entrons dans ce qui bouge.